Salah ibn Fawzy al-Hariri

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behind the name : Salah ibn Fawzy al-Hariri.
Son père lui a donné ce prénom en référence au premier calife ayyubide d'Egypte, en plus d'être le libérateur de Jérusalem. Passionné d'histoire, de ses racines et de sa religion, c'est lui qui a façonné Abu pour en faire ce qu'il est aujourd'hui. Sa mère, elle, est anglaise. Ils ont toujours su concilié leur monde respectif, faisant d'Abu quelqu'un d'assez ouvert, réfléchi, et critique. Il n'est pas parfait, mais il tend vers ce but, bien qu'irréalisable. Abu est un homme libre, qui peine à se stabiliser dans sa vie sentimentale, ce qui fait beaucoup grincer son père.

Le clan al-Hariri ont toujours été des gens d'un niveau de vie aisé. Harir est un mot arabe désignant celui qui vend/fabrique la soie. C'est un nom d'une famille noble du Caire qui a su se faire sa place au cours des siècles, traversant les méandres du temps, non sans mal. Malgré ça, ils sont aujourd'hui des gens ayant un certain patrimoine, qui vivent paisiblement. De temps à autres, au cours des siècles, quelques al-Hariri se sont fait connaître, principalement par rapport à la musique ou le savoir théologique. Une branche de la famille s'est même illustrée sur la scène politique libanaise, mais Salah ne la connaît pas. Son père non plus, d'ailleurs.

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lieu de naissance / origine / nationalité : Né au Caire, en Egypte.
Salah est de nationalité anglo-égyptienne, aux origines syrienne. Il bénéficie d'un visa de travail américain qu'il a pu renouveler plusieurs fois non sans mal, grâce à son poste au sein de l'université de UCLA.

Sa mère, une anglaise répondant au nom de Rosaline, a fait ses études au Caire où elle rencontra celui qui allait devenir son futur mari, Fawzy. Si ces derniers ne se sont pas installés là-bas à la suite de cette union qui fut très mal venue des deux côtés de la famille, ils partirent s'établir à Londres, une fois que Rosaline ait terminé ses études (avec Salah dans les bras). Elle devint archéologue, tandis que Fawzy, lui, devint un traducteur reconnu dans le milieu. C'est ainsi qu'il put la suivre (et éduquer leurs enfants à deux) sur chacune de ses fouilles.

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métier & occupations : Professeur à UCLA.
Salah a suivi ses parents toute son enfance, il était normal qu'il se découvre, à son tour, une passion pour les antiquités et l'histoire. Très rapidement, il se tourne vers la partie bien plus théorique que celle de sa mère, préférant un style de vie beaucoup plus sédentaire, même s'il a pas mal voyagé durant sa vie. Par le biais de son père, il se mit à réfléchir sur l'Islam, sur Dieu, et sur ses préceptes. Et très vite, il se passionna pour ce domaine, conjointement avec l'histoire. Il se spécifiera plus tard, lors de ses études, sur l'histoire du Moyen-Orient et de la péninsule arabique sur l'ère pré-islamique et islamique.

Il fit ses études à Oxford, en Angleterre, mais aussi à Berlin, au Caire, à Nizwa et à Doha pour obtenir un doctorat en Histoire (à préciser) et en Sciences islamiques. Salah prit une année sabbatique à la suite de cela pour profiter un peu, avant de se mettre à enseigner, d'abords en Angleterre, puis aux Etats-Unis où il a enseigné d'abords à Columbia, avant de décrocher un poste à UCLA, il y a seulement trois ans.

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état civil : Célibataire.
Au plus grand damn de son père. Sa mère, elle, s'en fout royalement. Tout ce qui lui importe, c'est que son fils soit heureux. Et puis, comme elle ne cesse de le dire, ils ont déjà des petits enfants grâce au frère et à la sœur de Salah. Mais Salah n'est pas prêt, et ne veut pas l'être. Il aime sa liberté, il aime faire ce qu'il veut. Ce qui n'a pas plus à sa communauté qui lui ont demandé d'arrêter d'animer la prière lorsqu'il le faisait plus jeune.

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orientation : Hétérosexuel.
Il ne s'est jamais trop posé la question, ça tombait sous le sens.

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affiliation & particularités : Être humain.
Cependant, grâce à la chevalière qu'il porte à sa main - un magnifique anneau d'argent finement ouvragée sertie d'un rubis particulièrement sombre - il possède une force surhumaine et une peau de dragons (Rien ne la perfore, et elle est particulièrement dure). Cependant, il n'a jamais eut l'occasion de s'en rendre compte, n'étant pas quelqu'un de vindicatif ou de téméraire.

L'anneau que porte Salah n'est autre que celui que Mehmet demanda à ce qu'on lui forge, il y a bien des siècles de cela. La conquête de Byzance ne pouvait se faire autrement qu'en usant de tous les artifices possibles, puisque les sorciers de l'empire romain d'Orient ne désiraient en rien à laisser tomber la cité entre les mains de ces barbares nomades venus d'Asie avec pour religion l'Islam.

Pourtant, le destin de la cité était condamné. Elle serait musulmane quoiqu'il arrive, et serait le futur point névralgique de tout un empire, de celui qui, encore aujourd'hui, fait couler beaucoup d'encre, à savoir : l'Empire Ottoman.

Bien que son destin soit scellé, Constantinople résista longtemps aux assauts de ces barbares venus d'extrême-orient. Leur force résidant à la fois dans leur magie et dans leur place forte, ils repoussèrent par deux fois l'empire Ottoman. Comprenant qu'il n'y parviendrait pas non sans aide, ils usèrent à leur tour de tout le savoir qu'ils avaient accumulé au cours des conquêtes et des victoires, et parmi les stratégies, on enchanta divers objets afin de les doter de puissants pouvoirs.

Divers artefacts virent le jour, et on les donna aux guerriers les plus féroces de Mehmet. C'est au terme de deux longs mois de sièges que Constantinople tomba entre les mains des forces ottomanes. Par delà, on demanda aux guerriers ayant reçu un précieux artefact de se charger de la protection de ceux qui serait la capitale du plus puissant empire du premier millénaire.


Le clan al-Hariri n'a pas toujours été égyptien, bien qu'il trouve naissance sur les rives du Nil.

(uc.)