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 Khvylya | My heart is pierced by Cupid

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Khvylya

Khvylya



Messages : 7
Date d'inscription : 05/01/2019


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Khvylya | My heart is pierced by Cupid Empty
MessageSujet: Khvylya | My heart is pierced by Cupid   Khvylya | My heart is pierced by Cupid EmptySam 5 Jan - 21:54

Khvylya

302 ans, soigneuse de Cythérée




And Who Am I ?
behind the name :
Khvylya (хвиля, prononcé /kvalia/) est le nom que sa mère, Ondine la Blonde, lui a donné au moment de sa naissance. Cela signifie "vague" en ukrainien. Sa mère et sa fratrie sont les seuls à l’appeler Lyly ou encore Lya.
lieu de naissance / origine / nationalité :
Comme toutes les ondines, elle est originaire du plan magique de l'Abysse, et a été élevé sous la couronne du Royaume Atlantique, à savoir Cythérée. Elle est donc cythéréenne, même si dernièrement, pour quelques obscures raisons, elle se retrouve perdue quelque part en Tortuga...
métier & occupations :
A Cythérée, elle occupait le rôle de soigneuse. Dans le plan magique de l'Abysse, il arrive qu'il y ait des guerres entre les différents royaumes ou encore avec l'extérieur (ce qui regroupe tous les autres plans selon elle). Elle prenait en charge toutes les choses du plan qui avaient été blessé. Comme tous les soigneurs de l'Abysse, elle ne regarde jamais qui elle a en face d'elle. Il n'y a aucun serment en Abysse, mais quand on devient soigneur, il s'agit souvent de l'envie d'aider son prochain.
Dernièrement, suite à son enlèvement, elle se retrouve prisonnière de Boucaniers qui cherche à la revendre à Tortuga. Les sirènes sont des proies très recherchées pour les vertus de leurs sangs, de leurs cheveux ou tout simplement comme objet sexuel par de riches dépravés. Ce qu'ils ignorent, c'est que sa disparition risque bien de mettre un terme à la paix qui régnait jusqu'à maintenant entre l'Abysse et son Extérieur...
état civil :
Il n'existe rien de tel en Abysse. Dans le monde des hommes, elle porte le nom indélicat d'Ondine, ce qui la classe dans les êtres humanoïdes reconnus et dotés de conscience et de sensibilité. Les Boucaniers cherchent à la vendre comme étant une sirène bien que très objectivement, elle n'ait pas de queue de poisson.
orientation :
Les Ondines, contrairement aux sirènes, ont une sexualité développée avec les autres membres de leur peuple. Il existe d'ailleurs des Ondins.
Khvylya, du haut de son âge, est considérée cependant comme trop jeune pour ce genre de jeu. Une Ondine ne devient en effet féconde que très tardivement, aussi il est de rigueur d'attendre les premières saignées pour envisager un mariage.
Les Ondines sont par ailleurs très attachées à leur époux ou épouse, car elles ne tombent amoureuses qu'une fois durant leur vie. En cas de séparation avec leur être aimé, elles perdent toute couleur et peuvent aller jusqu'à mourir. Pour les moins chanceuses, elles peuvent devenir des Banshees.
Elles peuvent procréer avec de nombreuses espèces. Lya elle-même est le fruit de l'amour d'une Ondine et d'un Elfe des eaux. Dans le cas des mariages mixes, il arrive très souvent que ce soit la part de la Mère qui prenne de grande place. Dans le cas de Lya, elle ressemble en effet davantage à une humaine qu'à une elfe, et ses oreilles légèrement pointues ne laissent aucun indice aux extérieurs de son plan.
affiliation & particularités :
Elle est affiliée au groupe des Abysséens → Cythéréens → Semi-Ondine Semi-Elfe. C'est un groupe qui représente environ 4% de la population de Cythérée. Les mariages ondin.e.s-elfes sont assez répandus, bien que loin derrière les mariages purement ondins ou elfiques. Les hybrides ondins-elfes représentent à eux 7 000 individus environ, et environ une centaine de naissance par an.


Around Me...


→ Ondine la Blonde
La mère de Lya n'est ni plus ni moins qu'Ondine, régente des eaux fluviales et cheffe des armées de Cythérée. C'est une femme hostile aux extérieurs de son plan du fait de son histoire et de ses blessures de jadis.
Khvylya est l'une des dernières d'une longue liste d'enfants que l'Ondine a eu avec son amant et consort Cair Lanthir Mithlotë. Ce n'est pas la plus jeune, mais l'une des plus jeunes. Lya a environ vingt-trois frères et soeurs. Elle est très proche de Richka, Dennyk et Horyn.
Après la disparition de sa fille, Ondine est terrassée. La Régente des Eaux, en effet, en veut à Nixe. Il y a moins de dix ans, un grand scandale avait secoué tout l'Abysse après les meurtres en série de plusieurs sirènes et ondines. Bien qu'elles aient mis en garde l'extérieur et que les meurtres se sont arrêtés, Ondine n'a jamais accepté que les sorciers s'en sortent ainsi.
Maintenant que sa fille a disparu, Ondine compte bien secouer les Abysses afin que les extérieurs reprennent conscience que leurs actes ne sont pas pardonnés.


→ Cap'tain Oliver Low
Boucanier ou forban, pirate ou gentleman, difficile de savoir ce qu'est exactement Oliver Low, si ce n'est un opportuniste émérite. Recherché sur quelques océans pour le braconnage illégal et de sombres affaires de traite d'hommes et de femmes, Oliver est un capitaine pourtant attentionné vis à vis de ses camarades qu'il a ramassé au cours de sa vie.
Homme de confiance et droit dans ses bottes, c'est un commerçant qui a du bagout, et qui aime la vie qu'il croque à pleine dent. C'est un excellent duelliste, que ce soit à l'épée, au pistolet comme à la magie. Oliver Low est un homme apprécié des marginaux en général, et il est bien connu à Tortuga où il a son pied à terre, un Lupanar qu'il a acheté à ses débuts, appelé "So Low", clin d’œil osé à son propriétaire.



As The Ocean
La frontière entre les Abysses et l’extérieur était de plus en plus fine. Derrière ses mèches blondes flottants dans l’eau claire d’un fleuve serpentant en Ukraine, Khvylya était inquiète. Si d’habitude son visage doux était toujours peint d’un sourire poli et charmant, cette fois, il n’y avait rien qu’une petite ride du lion entre ses sourcils froncés. Les documents coincés contre sa poitrine, elle avançait dans une bulle magique portée par Haesten, un magnifique cheval des ruisseaux, appelé Kelpie dans certaine légende. L’animal avait l’air puissant, mais contrairement aux mythes écossais, il était porté par quatre pattes puissantes terminées par des sabots et sa robe était aussi pâle que celle de la lune.
- Il doit s’agir d’une faille. Les frontières entre le monde du dessus et les Abysses sont de plus en plus fines... Comme si... Quelque chose les affaiblissait...
L’elfe qui se tenait à quelques mètres d’elle touchait du bout du doigt ce qui était a priori la mer de l’autre-côté. La porte n’était ni plus ni moins qu’une fissure, infime, dans le fleuve. On voyait aux alentours les silhouettes lointaines des coques des bateaux qui longeaient le fleuve. Les coques étaient trop grosses pour passer par cette fissure, mais si elle s’agrandissait, un bateau ou une barque finirait bien par être engloutie et se retrouverait en Cythérée.
- Il faut avertir le Conseil des Dames. C’est peut-être plus grave qu’il n’y paraît...
Si les plans magiques s’écroulaient les uns sur les autres, les dommages seraient d’une telle ampleur qu’il était impossible, même pour Khvylya ou les autres érudits du peuple abysséen, d’anticiper leur étendue. Il y aurait des morts et du sang, c’était certain, mais quel camp paierait le plus gros des tributs - impossible à savoir.
- Je te laisse partir en premier. Je vais longer la rivière pour voir s’il n’y a pas rien d’autre.
- Ne tarde pas. L’eau ici est suffocante...
La fissure avait laissé passer des particules de l’extérieur. De l’essence, ou quelque chose de similaire, des hydrocarbures. Leur goût était particulier, mais le plus frappant, c’était l’odeur. Khvylya eut un petit sourire et hocha la tête alors que l’elfe disparaissait lentement en s’enfonçant dans les profondeurs, suivant un courant descendant.
La jeune ondine continua son chemin le long de la Desna, fleuve ukrainien de plus de mille kilomètres. Les berges étaient vides, mais elle préférait se méfier. Il lui était déjà arrivé une fois d’arriver nez à nez avec un jeune enfant qui avait malheureusement couler. Elle l’avait rendu à la terre ferme, mais pour cela, elle avait été réprimandé.
Les Mères des Eaux n’aimaient pas vraiment que l’En-Dessous, que l’Abyssale ne se mêle aux hommes, même aux sorciers. Le plan mortel, le Milieu, était dangereux pour elles. Si une ondine ou une sirène vivait trop longtemps hors de ce plan, elle perdait ses couleurs mais aussi ses pouvoirs. Et d’aussi loin que cela pouvait remonter, Khvylya n’avait jamais entendu parler d’un retour possible. Les Lois de Nixe interdisaient à une «fugitive» de revenir, même abandonnée, même sur le point de mourir.
Khvylya eut un petit pincement au coeur en repensant à Maréline, mais elle chassa la tristesse et remonta le courant sur le dos d’Haesten.
C’est à un embranchement avec le Dniepr que la monture s’immobilisa, tendant une oreille. L’ondine fit de même, curieuse comme tous les êtres de son espèce, et pencha légèrement la tête. Le cheval marin avança d’un pas lent, avant que Khvylya n’arrive enfin à distinguer un sanglot profond. La voix était claire comme de l’eau de roche, et même entre les écumes et le clapotis de l’eau, l’ondine pouvait en saisir toute l’intensité, toute la tristesse.
Haesten approcha, et ils virent une main qui était enfoncée dans les eaux. Le corps était posé sur la berge. La fissure s’étendait jusque là. Khvylya eut un petit moment d’hésitation, et finalement, elle s’approcha. L’odeur de l’hémoglobine et le goût du fer que portaient les eaux la convinrent : elle devait aider.
Elle sortit la tête de l’eau, très lentement. Haesten attendit qu’elle lui caresse le cou pour avancer davantage, se dévoilant aux lueurs du crépuscule. La jeune femme qui était alors étendue releva le visage. Ses pommettes étaient tuméfiées et ses yeux gonflés par les pleurs. Elle prit un air apeuré en voyant la jeune femme sur son destrier. Khvylya elle-même eut un recul, parce qu’elle avait l’impression de lui faire encore plus peur que la Mort elle-même.
Elle tendit la main vers elle, descendant de sa monture qu’elle imaginait bien effrayante et imposante :
- Non, non... N’aies pas peur, je...
L’ondine s’arrêta en voyant que la jeune fille était piégée. Sa cheville droite était attachée au tronc d’un arbre, et le sang qui avait coulé dans l’eau était celui de son poignet, à peine amoché, mais assez pour faire pleurer ses veines. Elle s’immobilisa, un long frisson lui remonta l’échine. Elle n’eut pas le temps de faire un mouvement, mais entendit derrière elle le hennissement furieux d’Haesten qui se cabra, déclenchant au même moment une vague furieuse vers la rive.
Peine perdue: l’homme qui sortit des fourrées tendit sa main et ouvrit en deux la vague qui alla s’écraser de chaque côté de lui, sans le toucher. Khvylya ne comprit pas pourquoi son corps refusait de bouger, ou pourquoi encore elle n’arriva pas à articuler, mais aussitôt qu’elle le vit, elle sut qu’elle avait perdu.

La douleur frappait ses tempes comme un damné enfermé depuis trop longtemps. Elle secoua doucement la tête, les yeux fermés car c’était encore trop dur de les ouvrir. Son cœur battait vite, pour ne pas dire douloureusement vite. Elle renifla, et se força à soulever au moins une paupière, ses doigts se portant au même moment sur le haut de son crâne. Elle sentit une petite bosse derrière ses cheveux, mais également une plaie. Le sang avait coagulé, formant une petite croûte encore poisseuse. L’ondine eut un mouvement de recul, ouvrant aussitôt ses yeux sur l’endroit où elle se trouvait et qu’elle ne reconnaissait pas.
Un frisson de terreur remonta son échine alors qu’elle découvrit devant elle une sorte de cale de bateau. Elle toucha du bout des doigts l’épaisse vitre de verre qui formait un aquarium dans lequel on l’avait enfermé. Elle se concentra, mais rapidement elle se fit à l’évidence : le verre était enchanté et ne lui permettrait rien. Le fait seul d’être dans le plan du Milieu ne lui permettait de toute façon pas d’être au niveau. Sa magie semblait s’enfuir de ses veines et elle trouvait la sensation désagréable, aussi elle arrêta aussitôt, préférant s’en tenir là. S’économiser aurait peut-être un intérêt pour la suite.
Elle se mit dans un petit coin de l’aquarium, ramenant vers elle ses jambes. Sa main se porta à sa gorge, mais elle n’y trouva pas le pendentif qu’elle avait. Elle recolla difficilement les morceaux, revit la fissure, l’elfe, Haesten... Où était son cheval ? Le Kelpie n’avait pas pu l’abandonner. Il était peut-être mort en essayant de l’aider.
L’estomac de l’ondine se serra alors qu’elle jetait des regards autour d’elle. Ici et là, des aquariums comme le sien se tenaient. Certains étaient vides, d’autres contenaient des êtres marins, principalement des poissons rares, sauf peut-être un. Il s’y tenait un serpent de mer pas plus long de deux mètres. Un jeune spécimen qui manquerait sans doute à l’appel quand sa Mère rentrerait le soir même. Les serpents de mer n’avaient pas l’instinct maternel. Elle n’y verrait rien. Contrairement à Ondine...
Khvylya baissa les yeux en se demandant ce qu’il adviendrait d’elle et qu’elle serait la réaction de sa mère. Ondine était souvent en proie à des colères terribles et s’opposait à Nixe dans le traitement des affaires étrangères. Zalta était plus posée, et Nixe l’envoyait souvent en ambassadrice à l’extérieur... Ondine, elle, tout comme certains peuples, ne rêvait que de voir le Milieu s’embrasait. Elle avait vu son royaume - les fleuves d’Europe - souffrir de la pollution des grands bateaux et une grande majorité du poisson s’était réfugiée à jamais dans l’Abysse, se mettant en danger face aux grands prédateurs marins du plan magique, mais toujours plus à l’abris qu’au dessus.

La porte de la cale s’ouvrit. L’ondine releva le visage avant de voir le dernier visage qu’elle avait aperçu le soir même. Un visage qu’elle n’oublierait pas de sitôt. Elle se mordit l’intérieur de la joue alors même qu’il approchait d’elle. Ce n’est qu’au moment où il posa son regard sur elle qu’elle comprit qu’elle était nue. Les vêtements n’étaient pas une obligation, mais une coquetterie à Cythérée. Les bijoux étaient ce qui était le plus important. Et pour une Ondine, être loin de son peigne d’or était une torture. L’objet était aussi rassurant qu’important.
- Enfin réveillée ?
L’homme s’était arrêté juste devant l’aquarium. Khvylya ne répondit pas, mais son visage indiquait clairement qu’elle était offusquée, pour ne pas dire furieuse. Elle se mordit un peu plus fort l’intérieur de la bouche. Elle savait déjà que toute sa colère ne suffirait pas à rompre l’enchantement et contrairement à une sirène, elle était incapable de se transformer.
- Tu n’as pas l’air très ravie...
Se moqua-t-il, continuant sur le même ton, tirant vers lui une chaise. Derrière lui, l’ondine put remarquer deux autres hommes dont les regards étaient bien moins sages. Elle ne cilla pas, car s’ils la sortaient de ce caisson magique, c’en serait fini d’eux. Du moins, elle l’espérait sincèrement. Elle n’avait jamais encore tuer.
Ses iris couleur d’eau se posèrent de nouveau sur l’homme qui la détaillait visiblement. Il tourna autour de sa cage plusieurs secondes avant de s’immobiliser d’un air satisfait. Il se gratta la barbe avant de se tourner vers l’un de ses hommes :
- Tu pourras dire à nos habitués qu’on a un joli gabarie cette fois. Elle n’est pas rousse, mais au moins elle n’a pas de queue de poisson. Ça devrait être plus simple pour eux.
Le gars hocha la tête sans un cillement, alors que le second jetait un regard vers Khvylya avant de reprendre :
- Elle ressemble à une humaine... T’es sûr qu’elle va se vendre, Oliver ?
- Comme un petit pain béni ! Et puis, tu connais nos clients. S’ils veulent vérifier, ils trouveront bien une solution... Quitte à la faire couler pour voir si elle se noie...
L’ondine fronça les sourcils, ce qui fit rire le dit Oliver. Ses cheveux gras tirés en arrière et son regard lui donnaient un air de mauvais garçon, mais Khvylya imaginait que ça ne pouvait qu’être pire que ça. Il n’y avait qu’à voir l’étendard qui traînait, accroché à un mur derrière eux. Un magnifique squelette rouge sur fond noir.
- Tu as perdu ta langue ? D’habitude, quand je les sors de l’eau, elles ne font que piailler... Tu ne veux pas chanter pour moi ?
Du bout du doigt, Oliver Low tapa une fois sur la vitre, approchant si près son visage qu’elle pouvait détailler aisément la couleur aigue-marine de ses yeux, ou voir encore la canine en or qu’il avait fait installé sur pivot trois ans en arrière. D’ici, elle pouvait lire jusqu’au plus profond de lui, écouter le clapotis de son sang à travers son corps - ou était-ce le sien ? Son propre coeur qui battait si fort ? Etait-ce donc ça, la peur ?
Elle se tordit les doigts alors que son visage prenait une expression affreuse qui fit reculer Oliver, mais avec un sourire, pas vraiment inquiété par la créature. Il jeta un regard par dessus son épaule.
- Tu vois, je te l’avais bien dit. C’en est une.



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